L’Ouest ne veut plus être stigmatisée
36 journalistes étaient présents à cette assemblée générale annuelle, organisée au golf international Lucien-Barrière à La Baule et présidée par Jean-Marc Michel, président national de l’UJSF. Organisée dans un contexte assez tendu cette AG aura permis à chacun de faire état de ses ressentiments et de s’exprimer sur les sujets chauds du moment. Une réunion finalement très constructive, au terme de laquelle les journalistes présents ont rédigé une motion qui sera présentée au congrès national de Strasbourg, en mai.
– Journalistes présents :Pascal ALLEE, Paul ANDRE, Bernard AUGUSTO, Philippe AUDOUIN, Stéphane BOIS, Jérôme BOUCHACOURT, Anthony BRULEZ, Bernard BRUNEL, Olivier CAILLER, Christian CHERON, Christophe DELACROIX, Loïc FOLLIOT , Max FOUGERY, Pierre GADBY, Paul GAUTIER, Charles GUYARD, Frédéric HAPPE , Loïc JAFFRE, Grégory JULLIAN, Yvon JONCOUR, Joël LEPINE, Pierre-Yves LEROUX, Michel LE MOUEL, Loïc MATHIEU, Christophe MAZOYER, Alain MOIRE, David PHELIPPEAU, Jean-Luc PINCEMIN, Jean-Yves QUEIGNEC, Simon REUNGOAT, Francis SALAUN, Yves SCHERR, Benoît SIOHAN, Jean-Noël THOINET, Jean-Paul VANNERAUD, Jean-Claude VIRFEU.
Allocution du président, Stéphane BOIS
En tout premier lieu, je tiens à saluer la présence de Jean-Marc Michel qui a fait le déplacement pour suivre et accompagner nos échanges.
Les temps sont difficiles. L’expression est galvaudée. Je n’ajouterai rien à cette complainte du moment, j’appelle juste à l’union pour vivre ensemble et affronter les difficultés qui surviennent et qui surviendront.
Vous avez tous eu vent de l’altercation verbale entre Max Fougery et André Decarnelle lors du tournoi XXL à Nantes. Je ne reviendrai pas sur les détails. Sur la forme, je ne peux que condamner de tels propos. Sur le fond, il y aurait à redire. Si je me trompe, nous sommes bien dans une union et dans union, il y a pour moi un geste de fraternité, de mains tendues, de confraternité. L’épisode Aquilo au stade de France, l’épisode tournoi XXL n’ont pas abondé en ce sens.
Il est vrai, et j’en ai fait part au comité directeur de l’UJSF, qu’il y a parfois des décisions qui font preuve de rigorisme. D’autres parleront de zèle. Dans ces temps difficiles, cette rigueur peut-être pesante même si elle se veut la démonstration d’une entité forte. Il y a des réalités. Il faut parfois, à mon sens, savoir jouer la carte du compromis et savoir appréhender les faits à leur juste valeur.
Aujourd’hui, il n’y a plus de syndics locaux à Nantes. C’est désormais le National qui gère. Je me suis déclaré incompétent face à ce dossier. Je ne peux cautionner que des cartes à la journée soient distribuées en tant que carte plus ou moins permanente. Cela n’a pas lieu d’être. L’UJSF s’est battue, beaucoup, n’est ce pas Jean-Marc, et cela a eu un coût pour qu’une convention soit signée avec la LFP et à moindre bataille la FFF. Un dur combat face à une institution qui aimerait tant cadenasser l’information. Et qui aujourd’hui n’a même pas pris quelques minutes pour se mettre autour d’une table comme l’y conviait les comités de suivi, stipulés dans cette même convention. Que faut-il voir. Et alors que M. Ruello s’est senti obligé de faire une tirade sur la liberté d’expression, tout du moins de sa vision.
Aujourd’hui face à ces cols blancs du marketing et de la communication, on se doit d’être irréprochable, uni, fort. En clair, on doit avoir les fesses propres sur ce qui se passe dans nos espaces presse.
Il est exact qu’il subsiste, qu’il existe des situations complexes. Je l’ai rappelé à Paris dernièrement, je le répète, car mes propos ont été déformés : un journaliste sur cinq dans mon titre est en CDD à l’heure où je vous parle. Cela ne veut pas dire qu’ils ne sont pas encartés mais leur précarité fait parfois qu’ils n’ont pas toujours la carte de presse. En même temps, je me félicite qu’une commission conduite par Raphaël Perry a rendu un rapport qui ne fait que mettre en lumière une situation que l’on vit au quotidien.
Je regrette parfois la tournure jacobine que prend notre Union mais je constate aussi que dans ma section, l’affluence à l’AG annuelle est un indice fort sur le degré d’engagement…
J’aimerai tant que notre section conserve son dynamisme, qui est bel et bien existant (golf, cross country), qu’elle garde aussi de son poids, de son esprit critique. Je citerai un passage de Jacques Marchand qui dit dans le livre sur le Cinquantenaire de l’UJSF en parlant de la fondation de notre Union et de l’importance des confrères de province, sans laquelle l’UJSF n’aurait jamais été qu’elle a été.
Jean-Marc, je te dis tout haut devant cette assemblée mon inquiétude face à cette volonté centralisatrice qui souffle aujourd’hui sur notre Union. Elle est peut-être la voie du salut. Je ne voudrais pas surtout pas perdre le sel de notre section, avec la diversité de ses membres.
Le monde change aime à répéter mon rédacteur en chef. L’UJSF change aussi. Elle a perdu un peu de son humanité. Les besoins et les nécessités du moment y sont peut-être pour quelque chose mais il ne faut pas brader cette valeur humaine, tout comme la confraternité. C’est fondamental, cette confraternité est notre ciment. Sans elle, l’UJSF ne sera qu’un guichet sans âme et sans cet esprit critique qui m’est cher.
Merci de m’avoir écouté
Je laisse la parole à Jean-Claude pour le rapport moral.
Rapport moral du secrétaire général, Jean-Claude VIRFEU
L’an passé à Laval, lors de notre AG 2013, nous nous étions réjouis de l‘intérêt grandissant des journalistes de Bretagne et des Pays de la Loire pour notre Union. Nous avions atteint le chiffre des 340 adhérents. Un résultat qui confirmait la réussite de la réforme de la carte « Sport Presse » mais qui masquait néanmoins le peu d’intérêt d’un grand nombre de ces adhérents pour la vie de l’UJSF
Nous appartenons, c’est vrai, à une section très vaste. 9 départements, 300 km des Sables-d’Olonne à Saint-Malo, 400 du Mans à Brest. Mais cela n’explique pas tout. Aujourd’hui, pour cette assemblée générale convoquée dans une ambiance assez tendue, nous sommes moins d’une quarantaine dont près de la moitié sont des honoraires. Le mois dernier, avec la convocation pour cette assemblée, nous avons lancé un appel aux jeunes confrères pour qu’ils participent au prochain congrès national organisé à Strasbourg les 12 et 13 mai. A ce jour nous n’avons reçu que 6 candidatures, émanant toutes de journalistes honoraires.
Rassurez-vous, ce constat n’est pas propre à la section Ouest. Presque partout en France nous sommes confrontés au même phénomène. Les associations ne font plus recette et dans notre profession, déjà très individualiste, les confrères sont de plus en plus sollicités dans des rédactions où les effectifs sont souvent en baisse. Et on a le sentiment, que le seul intérêt de l’UJSF pour le plus grand nombre des journalistes qui y adhèrent est la délivrance de la carte Sports Presse.
Cela dit, la section Ouest peut être fière de son investissement dans un certain nombre d’événements.
En dehors de l’Ile de France, nous avons été, cette année encore, la section la mieux représentée au Prix LCL du meilleur article et de la plus belle photo de Sport. Rien que pour l’Ouest, 23 textes et 24 photos ont été présentés au jury rassemblé ici à La Baule. En hommage à notre partenaire LCL, la section a apporté son concours financier à ce prix afin de permettre son organisation au Castel Marie-Louise, l’un des hauts lieux de la gastronomie à La Baule
Comme chaque année, nous avons également organisé l’élection du Sportif UJSF Ouest 2014. Vous avez été 132 à participer à cette élection qui a couronnée le multiple champion du monde sur piste mayennais François Pervis.
En partenariat avec l’Automobile club de l’Ouest, l’UJSF Ouest a encore organisé le concours du meilleur communiquant de la plus grande compétition sportive de l’année dans l’Ouest : les 24 Heures du Mans.
Autre manifestation dans laquelle l’UJSF Ouest a été impliqué : le concours photos Endurance photos 72 sur le championnat du monde d’endurance automobile, organisé par le Conseil général de la Sarthe
Et puis l’UJSF Ouest a collaboré, aux côtés du Club de la Presse sportive de l’Ouest, au championnat de France de cross-country des Journalistes, au Mans et, ici, à La Baule, au National UJSF de Golf des journalistes, une manifestation qui sera organisée pour la 7e année consécutive les 16, 17 et 18 juin prochain à La Baule.
Au travers de ces diverses organisations l’UJSF Ouest a constamment cherché à mettre en avant les valeurs de notre union. Et ce auprès de nombreux confrères mais également de dirigeants de clubs, d’élus, de représentants des milieux économiques.
Voilà pour la partie rose de notre bilan annuel. Passons maintenant aux choses qui fâchent.
A commencer par la mise à l’écart des sections dans la délivrance des cartes Sports Presse. Et ce, selon notre secrétaire général, pour des raisons techniques. Auparavant, c’était les sections qui donnaient leur aval au secrétariat de l’Union à Paris et il n’y avait pas de problème.. Désormais, les journalistes font leur demande directement en ligne, sans contrôle des sections qui reçoivent ultérieurement le listing des confrères qui ont adhéré.
Un avantage : moins de travail pour les sections mais de gros inconvénients : plus aucun contrôle, la délivrance de cartes SP à des confrères n’ayant parfois aucun lien avec le sport et ne sollicitant cette carte que pour assister gratuitement aux rencontres sportives, une véritable coupure entre les responsables des sections et leurs adhérents, sans parler des problèmes rencontrés par de nombreux confrères pour s’inscrire et payer en ligne. Certains, ici présents, pourront certainement le confirmer, d’autres, qui n’ont pas renouvelé leurs adhésions suite à ces incidents, nous l’ont affirmé à maintes reprises. Si bien qu’aujourd’hui, dans l’Ouest, une soixantaine de journalistes, adhérents l’an passé, ne le sont plus cette année. Certains ont peut-être changé de section mais, là encore, le système mis en place a supprimé toute communication et a généré quelques situations curieuses.
Ce problème je l’avais évoqué au printemps dernier lors d’échanges de mails avec d’autres présidents de section et en comité directeur national. Avec, en retour, une réaction assez virulente de notre secrétaire général qui allait jusqu’à affirmer, dans un mail daté du 18 juin que « la substance de l’UJSF n’était plus ses sections. ». Des propos qui entraînèrent une forte contestation de ma part, de Stéphane Bois, mais également de plusieurs présidents de section et un démenti catégorique de Jean-Marc Michel, notre président .
La rentrée footballistique à la mi-août n’allait pas ramener la sérénité que nous attendions.
Le syndic de Caen et président de la section Normandie nous ayant signalé qu’il ne pourrait assumer, pour cause d’éloignement, ses fonctions sur les deux matches de Caen décentralisés au Mans à la fin août et nous ayant demandé de remplir cette tâche, les syndics du Mans se sont dévoués.
Pas évident cependant car à cette période tout le monde était en vacances. Pourtant, Christian Chéron s’était rendu disponible pour le premier match et moi pour le second. Nous avions pris contact avec les responsables du MMArena, adressé des mails à tous les confrères susceptibles de couvrir cette rencontre. Bref tout était parfaitement organisé. A trois jours de la rencontre j’ai cependant reçu un mail de notre secrétaire général m’annonçant que le syndic pour ces rencontres serait Jean-Louis Garros (celui qui, un mois et demi plus tôt nous avait supplié pour assumer cette tâche), qu’il serait le seul à distribuer les cartes à la journée et que, par contre, Christian Chéron assurerait les réunions H-2. Un véritable camouflet pour les syndics du Mans et la section Ouest ! Aussitôt, nous avons donc décidé de nous retirer complétement de cette mission, Christian Chéron ayant quand même donné un coup de main à un certain nombre de confrères présents.
Autre problème, au Stade de France, lors de la rencontre amicale entre la France et l’Espagne. Pensant qu’il avait été accrédité par son journal, Laurent Aquilo, envoyé spécial du Télégramme sur l’équipe de France depuis quatre ans, s’est présenté au guichet Presse pour retirer son passe et on lui apprit qu’aucune demande n’avait été faite pour lui. Malgré de multiples palabres il n’eut pas gain de cause, André Decarnelle lui délivrant néanmoins un billet de tribune où, dans un virage, mêlé au public, il put, ordinateur sur les genoux, suivre le match et travailler pour son journal. Par contre, il fut invité à repasser au guichet à la fin du match pour recevoir un accès en zone mixte. D’où une incompréhension de Laurent et de plusieurs de ses confrères. C’est vrai qu’il faut de la rigueur. Et de ce côté-là André Decarnelle en a. Mais n’est-ce pas également le rôle du syndic de défendre les intérêts des journalistes et de tout mettre en œuvre pour trouver des solutions lorsqu’un problème comme celui ci survient ?
Une nouvelle occasion de fustiger la section Ouest et ce n’était pas fini. Anne Paulou, journaliste au Télégramme et syndic à Lorient eut le malheur de délivrer une Carte Sports Presse à la journée à un pigiste pas encore encore titulaire de la Carte de Presse CCIJP pour un match à Lille. Une grosse erreur, bien sûr de la part d’Anne. Elle le reconnaît. Mais la section Ouest, vilain petit canard, était à nouveau en ligne de mire.
Et puis, après une fin d’année relativement calme il y eut ces propos scandaleux tenus par René Ruello à l’encontre des journalistes, propos bien sûr condamnés par l’UJSF puis cette affaire nantaise ou plutôt ces affaires.
Rappelons brièvement les faits.
Lors du tournoi préparatoire au championnat du monde de handball, le photographe professionnel d’Ouest-France prévu pour couvrir une rencontre de l’équipe de France fut retenu sur une grosse manifestation en mémoire de nos malheureux confrères de Charly Hebdo. Et c’est un correspondant, qu’Ouest-France envoya à La Beaujoire. Le syndic de l’Union, André Decarnell,e lui refusa l’accès, malgré le soutien de Max Fougery, journaliste à Ouest-France. Le ton monta et selon Max et d’autres témoins, André aurait dit « qu’il n’avait rien à foutre de la manif et qu’une fois de plus les journalistes d’Ouest-France l’emmerdait. »
Via l’attaché de presse de la FFHB, Max fit néanmoins rentrer son correspondant, et, vida son fiel contre André, dans un mail adressé au bureau national de l’UJSF. Notre ami Fougery a « pété » les plombs, c’est incontestable. Sa réaction n’était sans doute pas la mieux appropriée face à cet incident. Mais vu le contexte, connaissant son attachement à certaines valeurs humaines, le soutien qu’il a apporté à de nombreux jeunes confrères pour l’obtention de leur carte de presse alors qu’il occupait un poste de responsabilité au SNJ, on ne peut pas douter de son intégrité. Et on peut comprendre qu’il ait pété les plombs.
Dans cette affaire, n’aurait-il pas mieux valu réglé ce problème en famille plutôt que d’envenimer les choses via des mails à toutes les sections et, pour finir, expédier ses diatribes aux 300 adhérents de l’Ouest ?
Suite à cela, suite également au procès fait aux syndics de Nantes, ces derniers ont démissionné.
Il est vrai qu’à La Beaujoire les syndics ont pris quelques libertés avec la convention et nos règlements internes. Difficilement admissible compte tenu des engagements qui nous lient à la Ligue nationale de Football. Une Ligue qui ne tolère aucun écart à la convention et qui a des oreilles dans tous les clubs y compris à Nantes. Il y a des règles. Notamment sur l’attribution des cartes Sports Presse à la journée. Elles sont certes contraignantes mais elles doivent être respectée. Même si cela complique la tâche des syndics. Mais n’allons pas trop loin dans la condamnation de nos syndics qui font un boulot admirable. A Nantes, à La Beaujoire comme au centre d’entraînement de la Jonelière, ils ont mis en place une méthode de travail qui fait l’unanimité parmi les journalistes qui fréquentent ces sites. Et n’est-ce pas cela l’essentiel ?
Mais les syndics de Nantes ne sont pas les seuls à être dans l’œil du cyclone. Ceux de Rennes, Lorient, Brest n’ont pas été épargnés par des rumeurs et des propos sans fondement. Pas plus Ouest-France et les patrons de la presse régionale. Avec pas mal de contre-vérités à la clé. Comment peut-on affirmer que le syndic de Lorient était absent lors du match Lorient-Marseille et que l’accueil presse était assuré par des vigiles ? Anne Paulou et d’autres journalistes présents à cette rencontre nous ont assuré qu’elle était bien présente et qu’elle avait parfaitement assumé son rôle de syndic. Pourquoi, encore, pour un match de quart de finale de coupe de France (Concarneau-Guingamp à Lorient) qui n’intéressera de que des journalistes bretons, désigner André Decarnelle, syndic de cette rencontre, sans même avertir les syndics des villes concernés ni les responsables de la section.
Pourquoi tant de haine, d’agressivité et de propos mensongers ?
Après une trentaine d’années de militantisme au sein de l’UJSF, je suis aujourd’hui bien triste mais je continue néanmoins à croire en notre Union. A condition qu’elle retrouve les vertus prônées par ses pères et que nous cultivons dans des manifestations comme le National UJSF de Golf des Journalistes. Cette solidarité, cette amitié, cette convivialité qui faisaient sa force il n’y a pas si longtemps encore.
Non, Jean-Marc, l’Ouest n’a pas de prés carrés, pas plus de mandarins. Et elle n’a pas l’intention de faire sécession comme des esprits chagrins et mal intentionnés l’ont encore laissé entendre ces derniers jours. Nous souhaitons simplement que la raison l’emporte et que l’UJSF renoue avec ses véritables valeurs. . Nous voulons tous recouvrer la sérénité. Mais dans le respect de chacun d’entre nous.
Rapport financier du trésorier, Christian CHERON
C’est à nouveau un compte-rendu financier très positif qu’a présenté Christian Chéron, trésorier de la section. En 2014 les déplacements au comité directeur à Paris ont été moins nombreux mais celui au congrès national (La Rochelle) un peu plus onéreux. La refonte du site internet a également légèrement affecté notre budget. Pour 4 411,97 € de dépenses, la section Ouest a réalisé 5000,75 € de recettes (dont 4 203,75 € de rétrocession sur les cartes Sports Presse par le National), d’où un résultat positif de 588,78 €. Au 31 décembre 2014, la trésorerie de l’UJSF Ouest affichait un excédent de 2 454,12 €.
Le trésorier se tient à votre disposition si vous avez besoin d’informations complémentaires.
Intervention du président national de l’UJSF, Jean-Marc MICHEL
« Je connais les défauts de mes adjoints. Vous mettez en cause André Decarnelle mais c’est le personnage qui travaille le plus à l’Union. Quand je vais dans les Fédérations, il est béni des dieux. Et à propos du rejet de Laurent Aquilo de la tribune de presse du Stade de France, il faut savoir que j’ai fait ouvrir un guichet spécial qui, jusqu’à 19h30, traite ce genre de problème. Si Laurent était arrivé avant 19h30 il n’aurait eu aucun problème. Il faut savoir qu’au Stade de France, on ne peut pas avoir accès à la tribune de presse si on n’est pas identifié par une photo. Quant aux exigences qui sont les nôtres dans toutes les tribunes de presse, elles découlent de la convention signée avec la Ligue nationale de football. Cela nous a demandé 18 mois de travail, 35 réunions et 32 000 € d’honoraires d’avocat…
A l’UJSF le tableau n’est pas si sombre que cela. Je suis entré au comité directeur de l’Union en 1989, j’ai pris la présidence en 1999. Quand je suis arrivé, tous les placards étaient cadenassés, nous étions au bord de la faillite. Aujourd’hui nous avons trois budgets d’avance, deux salariés, un secrétaire général qui passe chaque semaine deux jours au bureau et qui abat un boulot formidable, un système informatique qui, dans sa catégorie, est le meilleur du monde. Grace à nous, en France, il y a une loi qui nous protège. On s’est battu pour cela aux côtés de Marie-Georges Buffet et elle a vu le jour sous le ministère de Jean-François Lamour. Je sais qu’il peut y avoir quelques petits problèmes. Mais c’est d’abord aux présidents de section de les résoudre. Mon souci, aujourd’hui, ce n’est pas vous, c’est ma succession à la tête de l’Union… »
Débat entre le président national et les journalistes
Max Fougery : « Tu dresses un tableau magnifique. L’UJSF n’a jamais été aussi forte. Jean-François Renault n’a sans doute rien fait quand il était secrétaire général ! Quant à André Decarnelle je ne conteste pas son travail mais est-ce que ça l’exonère de faire preuve de discernement ? Où va l’UJSF si l’on ne considère pas sa base ? C’est un problème de fond. Dans nos rédactions, si on n’avait pas une armée mexicaine autour de nous, nous ne pourrions rien faire. Et c’est également le rôle de l’UJSF de permettre aux rédactions de fonctionner ! »
Jean-Marc Michel : « Aujourd’hui, il y a 13 école de journalisme reconnues en France. Plus une vingtaine qui ne le sont pas, mais elles délivrent des diplômes. Les jeunes qui en sortent ne trouvent pas de travail et j’ai vu des correspondants de presse aller couvrir des matches de Champion’s League. J’ai demandé à notre cabinet juridique de plancher sur le sujet. »
Max Fougery : « Précision : des écoles non reconnues par la profession n’en délivrent pas moins un diplôme reconnu par l’Etat pour la plupart d’entre elles.
Il faut bien savoir comment fonctionne un journal. En dehors des journalistes, certains de ses collaborateurs sont des pigistes encartés et d’autres, des correspondants. C’est cette réalité là, très complexe, que l’UJSF doit prendre en compte. Je comprends que l’on soit très strict, très rigoureux sur les événements internationaux se déroulant au Stade de France. Mais il y a un contexte régional où l’on s’appuie sur un réseau. Notre devoir n’est-il pas aussi de faciliter le travail des personnes de ce réseau ? Ce sont des jeunes – pour certains journalistes en devenir – des CDD, des correspondants. Pour revenir à la tribune de presse de La Beaujoire, 90 places aujourd’hui, il n’y a qu’une trentaine de journalistes qui y travaillent à chaque match. Si nous faisons le grand ménage, le club ne mettra pas longtemps à la récupérer. Mais ne soyons pas orthodoxe, ne soyons pas bas de plafond. Je déplore qu’aujourd’hui, à l’UJSF, il y ait des gens qui ont une vision un peu obtue des choses. »
Jean-Marc Michel : « Au-delà de la convention, aujourd’hui, notre responsabilité juridique serait engagée en cas d’accident d’un non-professionnel dans une tribune de presse. »
Grégory Jullian : « Pourquoi stigmatiser les syndic de Nantes ? Je vais dans toutes les tribunes de presse de L1 et, hormis peut-être à Lille, j’ai vu des choses pires ailleurs. A Montpellier, à Nice… »
Pierre-Yves LEROUX : « Travailler avec l’équipe de syndics qu’il y avait à Nantes a toujours été très agréable, pour nous. Et ne je comprends pas, pourquoi, d’un revers de main on l’a balayée. »
Christophe DELACROIX. « Nous, les syndics, nous nous sommes toujours focalisés sur une chose : accueillir les confrères le mieux possible pour qu’ils puissent travailler le mieux possible. Est-ce que c’est mettre en péril l’Union que de délivrer à un stagiaire possédant un contrat de travail une accréditation valable une saison plutôt que de lui en donner une à chaque match ? Si on continue comme cela on va devenir la carpette du football pro… »
Yves SCHERR : « Tout est une question de discernement. Voilà deux ans, au congrès de Caen, j’avais expliqué les spécificités de la presse quotidienne régionale. Comme l’utilité des correspondants pour honorer les piges demandées par des journaux extérieurs. Je voudrai également préciser qu’à Ouest-France sur 570 contrats de journalistes professionnels, seuls 56 sont occupés par des CCD. Et ce, sur des postes vacants. Autre exemple de discernement : le communiqué émanant de la FFF précisant que pour le match de coupe de France entre Concarneau et Guingamp, un seul journaliste serait accrédité par titre. »
Jean-Paul Vanneraud : « A propos des tribunes de presse. Il faut se mettre en relation avec la ville, propriétaire du stade. Afin que l’espace presse soit protégé. »
Jean-Marc Michel. « De plus en plus de stades vont devenir privés. D’autres ont des contrats de location et font ce qu’ils veulent dans leur enceinte. Nous sommes en train de monter un dossier pour demander au ministère de nous confier une mission de service public. Si nous l’obtenons, nous pourrons traiter d‘égal à égal avec les ligues pro. Aujourd’hui, nous avons des conventions avec le football et le basket. Mais pas avec le rugby ni le handball. »
Christophe Delacroix : « Aujourd’hui, nous les journalistes de la PQR, nous travaillons très bien avec la ligue de handball. En ce qui concerne la fédération, le tournoi XXL organisé le mois dernier était, avant tout, un tournoi préparatoire au championnat du monde 2017 dont une phase se déroulera à Nantes. Pour la presse, il y aura pas mal d’aménagements à faire. J’imaginais que notre syndic national allait rencontrer les organisateurs pour parler de cela. Il n’en a hélas rien été. »
Point sur les cartes Sports Presse
A ce jour, 300 cartes SP ont été attribuées à des journalistes de l’Ouest. Contre 340 la saison passée. Le nouveau mode de délivrance des cartes a rebuté un certain nombre de confrères qui, après plusieurs tentatives et malgré une relance de notre part, ont laissé tomber. Aujourd’hui 60 journalistes, titulaires ces dernières années d’une carte SP dans la section Ouest, ne l’ont pas reprises. Il y en a certainement qui ont changé de section mais nous n’avons plus aucun contrôle sur ces mouvements. Et puis il y a des situations bizarres. Un exemple, Philippe Audouin qui travaille sur Nantes mais dont la carte a certainement été payée par RTL doit être répertorié en Ile de France.
Un autre exemple qui aurait pu avoir des conséquences ennuyeuses dans le cadre du Prix LCL-UJS. Eddy Lemaistre nous a adressé des documents photos via la section Centre. Nous étions persuadé qu’il appartenait à cette section. Comme il a terminé 2e et que l’une de ses photos était sélectionnée pour la finale nationale, nous avons essayé de le contacter. Il était inconnu dans le Centre. Nous avons finalement trouvé un n° de teléphone et avons pu le joindre à son domicile dans le Maine et Loire. Lui, était persuadé faire partie de l’Ouest. Il a téléphoné à Paris pour signaler l’incident. Moi j’en ai fait de même. Mais aujourd’hui, Eddy Le Maistre ne figure toujours pas sur le listing de l’Ouest. S’il avait eu le premier prix au LCL-UJSF Ouest cela aurait créé un sérieux problème.
Tour des stades et des salles
Foot L1 Guingamp : Hervé Bride : Aucun commentaire reçu.
Foot L1 Lorient : Anne Paulou : « Je n’ai rien de particulier à souligner en ce qui concerne la tribune de presse de Lorient ou encore la zone mixte. Tout se passe bien. Pour la saison prochaine, si je fais l’affaire, je veux bien continuer s’il n’y a pas d’autres volontaires. »
Foot L1 Nantes : Christophe Delacroix (syndic démissionnaire) « Nous avons toujours cherché à accueillir les confrères le mieux possible pour qu’ils puissent travailler le mieux possible. Est-ce que c’est mettre en péril l’Union que de délivrer, pour des raisons pratiques, à un stagiaire possédant un contrat de travail, une accréditation valable une saison plutôt que de lui en donner une à chaque match ? Nous ne le pensons pas. »
Pierre Minier : « Problèmes de propreté de salle des photographes à Nantes. Elle n’est jamais nettoyée et nous travaillons dans des conditions épouvantables. »
Foot L1 Rennes : Nicolas Carnec et Cedric Guillou : « RAS. Aucun problème particulier. »
Foot L2 Angers : Gildas Crozon. « Tout va bien. Aucun problème particulier à signaler. »
Foot L2 Brest : Yvon Joncour : « Tout va bien à Brest. Aucun problème particulier. »
Foot L2 Laval : Thierry Ruffat : « A Laval, rien à signaler. Tout se passe bien. Que ce soit avec le club ou les délégués. Parmi les changements cette saison : une salle de presse un peu plus grande et mise en place d’une zone mixte. »
Basket Pro A Cholet : Emmanuel Esseul : « RAS, si ce n’est le fait que la presse locale, Ouest-France comme Le Courrier de l’Ouest, font travailler des correspondants comme photographes sur les matches de Cholet Basket. Pour la saison prochaine, Julien Hippocrate, également d’Ouest-France assurera avec moi les fonctions de syndic. »
Basket Pro A Le Mans : Stéphane Bois : « RAS au Mans. Compte tenu de la taille de la tribune de presse d’Antarès, aucun souci. Seul problème enregistré lors du derby Le Mans-Cholet, malgré l’opposition du syndic, le directeur de la communication du MSB a délivré une chasuble à un photographe ne possédant pas de carte de presse. »
Autres stades et salles :
Saint-Nazaire (Volley, Hand, Rugby) : Maxence Ponroy : « La saison 2014-2015 s’est fort bien passée dans l’ensemble.
-Volley (Ligue A, donc élite) : Il n’y a aucun problème. J’avais demandé, il y a un peu plus d’un an, l’allongement de la table de presse ce qui a été réalisé très rapidement par la municipalité. Très bonne entente entre collègues, prises suffisantes pour les portables donc tout fonctionne parfaitement.
-Rugby. Fédérale 1, donc élite Bretagne-Pays de la Loire.
Tribune un peu juste selon les matchs. Il faut composer régulièrement avec le superviseur de la rencontre qui a besoin de prendre des notes et c’est, effectivement, le seul endroit où il peut trouver un pupitre. De temps en temps, je me dois aussi d’intervenir pour faire reculer les trépieds des caméras fixes des bénévoles des clubs qui filment le match pour en tirer les enseignements, ces trépieds venant se figer dans le dos des journalistes ou correspondants accrédités car posés sur l’unique banc de la presse. Mais il faut faire avec car nous sommes sur la seule partie haute de la tribune principale, celle où l’on est certain de ne pas avoir dans l’axe des caméras des supporters debout ou des drapeaux. Quand les équipes radio avec consultant arrivent avec les rencontres du sud-ouest, on se serre. Mais il n’y a pas eu de souci majeur cette saison. La tribune de presse ne pourra être aménagée et close qu’à l’issue d’une montée au niveau supérieur, dans le Groupe B professionnel. C’est pas gagné…
-Handball : L’équipe nazairienne qui évolue en Nationale 2 va disposer le 7 mars prochain d’un gymnase flambant neuf.
J’ai été sollicité avant la réalisation par le directeur du service des sports qui m’a demandé d’exprimer les souhaits de la presse. Après consultation, je lui ai donné mes conclusions. Il y a quelques jours, la seule presse a été invitée à découvrir ces installations et ce que serait son cadre de travail. Deux collègues nantais étaient aussi présents. Max Fougery a souhaité que le pupitre pour la presse soit un peu plus large afin que portables et carnets de notes puissent trouver place sur un même espace. Pour l’instant, pas de réponse sur l’agrandissement de ce pupitre. Mais la municipalité a pris bonne note.
Nous sommes peut-être des privilégiés mais, sur Saint-Nazaire, le syndic a toujours été associé aux réalisations sportives et ses vœux écoutés. »
Désignation des syndics pour la saison 2015 -2016
Hormis à Nantes où Christophe Delacroix et Grégory Julian ont démissionné, de même que Raphaël Bonnamy en Vendée, tous les autres syndics ont manifesté le désir de rester à leur poste. Ils sont donc reconduits. A Nantes, une nouvelle équipe est en train de se mettre en place.
A Cholet (Basket Pro A), Julien Hippocrate fera désormais équipe avec Emmanuel Esseul.
Site internet (www.ujsf-ouest.com)
Nous avons changé de webmaster et Marie-Paule Manfredini qui a pris la suite a rénové notre site. Elle est de surcroît beaucoup plus réactive. Si vous avez des infos à faire passer, n’hésitez pas à nous les communiquer. Ce site doit être la vitrine de l’UJSF et vivre beaucoup plus qu’il ne le fait aujourd’hui.
Bilan des différentes manifestations de l’année
Prix-LCL-UJSF Ouest-Centre. 29 photos dont 23 présentées par des journalistes de l’Ouest étaient en lice pour ce prix, de même que 24 photos provenant toutes de photographes de Bretagne et des Pays de la Loire. Le jury présidé par Yves Métaireau, le maire de La Baule rassemblait des personnalités du monde sportif dont Waldemar Kita, président du FC Nantes, Thierry Anty, entraîneur du HBC Nantes, Jean-Marc Desrousseaux ex-gardien de but du FC Nantes, Cyrille Daniel, pro de golf, et des milieux économiques et touristiques de la région.
Pour les textes, c’est François Simon (Ouest-France) qui l’a emporté avec un papier sur le départ de la route du Rhum (Salut à vous, babas du rhum) devant Gildas Crozon du courrier de l’Ouest (Au nom d’Emma). Dans la catégorie photo, victoire, également d’un journaliste-photographe d’Ouest-France, Daniel Fouray devant Eddy Lemaistre (DPPI) et Jean-Sébastien Evrard (AFP).
Au terme du déjeuner servi au Castel Marie-Louise, les lauréats de l’an passé, Olivier Clerc et Franck Dubray ont été récompensés par Yan Duhamel, responsable du sponsoring chez LCL.
Sportif UJSF 2014. 132 journalistes ont participer à cette élection du meilleur sportif UJSF de l’Ouest de l’année 2014. Au départ, nous avions sélectionné 12 garçons et filles : Jérémy Beyou (voile), Julien Bontemps (Planche à voile), Sébastien Comblot (Canoë-kayak), Anthony Delhale et Mathieu Gines (Moto), Floria Gueï (Athlétisme), Lionel Mathis (football), François Pervis (Cyclisme sur piste), le couple Marie-Riou et Billy Besson (Voile également), Sylvain Quinquis (Volley-ball), Jo-Wilfried Tsonga (Tennis). Et puis, après sa victoire dans la Route du Rhum, un 13e homme s’est imposé : Loïc Peyron. La bagarre entre Pervis et Peyron a fait rage jusqu’au bout et c’est finalement le pistard mayennais qui l’a emporté au finish devant le voileux. 196 pts pour Pervis, 186 pour Peyron, Floria Guei montant sur la 3e marche du podium (109 pts).
Trophée de la Communication ACO-UJSF. Dans le cadre des dernières 24 Heures du Mans un jury d’une douzaine de journalistes français et étranger, l’UJSF Ouest et l’Automobile Club de l’Ouest ont organisé le traditionnel prix de la communication récompensant une personnalité de l’épreuve pour sa proximité et son efficacité en matière de communication. Le trophée 2014 a été décerné à Alessandro Barlozzi, responsable des relations presse chez Michelin Compétition.
Concours Sarthe Endurance Photo. Pour la 5e année le Conseil Général de la Sarthe, avec le soutien de l’Automobile Club de l’Ouest, du Musée des 24 Heures, de l’UJSF, d’Auto Hebdo et du Maine Libre, a organisé le Concours Sarthe Endurance Photos. Un concours axé sur le championnat du monde d’endurance automobile et ouvert, d’un côté aux photographes journalistes professionnels, de l’autre aux amateurs.
Une soixantaine de clichés prises par des pros ont été départagées par un jury présidé par Henri Pescarolo. Et, pour la 2e fois, c’est le Canadien Eric Gilbert qui est sorti grand vainqueur de cette compétition. Non seulement il remporte le concours pro avec une très belle image prise aux dernières 24 Heures du Mans, devant les restaurants de la mythique ligne droite des Hunaudières mais glane également le Prix du jury pour une photo de toute l’équipe Audi. Eric Gilbert qui, lors de la remise des prix, s’est déplacé spécialement du Québec, a reçu des mains de Véronique Rivron, vice-présidente du Conseil général de la Sarthe, un chèque de 3 000 €. Au classement pro, Eric Gilbert devance le Français Eric Fabre et le Britannique James Moy. A noter que ce partenariat nous a valu des citations et la présence de notre logo sur un certain nombre de publications (Auto Hebdo, Ouest-France, Le Maine Libre).
Manifestations organisées avec le Club de la Presse sportive de l’Ouest
Championnat de France de cross des Journalistes. Organisé au Mans le 17 janvier dernier, dans le cadre du 10 km du cross Ouest-France – Pays de la Loire ce championnat a rassemblé une quinzaine de concurrents. Le titre 2015 est revenu à Arnaud Bodin (Ouest-France Laval) devant Hervé Petitbon (Le Maine libre) et Gildas Menguy (France Bleu Mayenne). Chez les dames, victoire d’Emilie Jouvin (L’Orne Hebdo)
6e National UJSF de Golf des Journalistes à La Baule.. Près de 120 participants cette année et de beaux vainqueurs : Thierry David (Canal +) chez les hommes, Laurence Agatensi (France 3 Orléans) chez les dames. La 7e édition se déroulera, à La Baule, bien sûr, les 17, 18 et 19 juin prochain.
Le championnat de France de cyclisme des Journalistes vraisemblablement au Mans en 2015. Le club national de la Presse sportive cherchait une manifestation de standing pour accueillir le championnat de France de cyclisme des journalistes et conforter sa notoriété. Nous pensons l’avoir trouvé. Probable que cette épreuve se déroulera au Mans, le samedi 22 août, dans le cadre des 24 Heures du Mans vélo.
Questions diverses
Congrès de Strasbourg. L’Ouest sera représenté au congrès national de Strasbourg, les 12 et 13 mai, par : Stéphane Bois, Georges Guérin, Loïc Jaffré, Joël Lépine, Michel Le Mouël, Loïc Mathieu, Jean-Luc Pincemin et Jean-Claude Virfeu.
Affaire Layris. Ce sinistre individu demeurant à Rennes et usurpateur patenté a récidivé en se présentant à nouveau avec une fausse carte de presse au Parc des Princes lors du premier match de la Ligue des Champions. Il a été démasqué et, cette fois, une plainte a été déposée contre lui par l’UJSF.
Remboursement des frais kilométriques. Ces frais devront être justifiés. Et comme ces dernières années, ils seront remboursés selon le barème fiscal d’une voiture 6 cv.